C’est quoi le statut juridique d’une entreprise ?

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Dans cet article, LegalVision vous présente la définition du statut juridique des entreprises. La définition d’un statut juridique est donc la suivante :

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Un statut juridique est un ensemble de textes qui permettent de réglementer la situation d’un groupe d’individus et leurs droits et obligations. Dans le monde de l’entreprise, le statut juridique des différentes entreprises s’appelle la forme juridique. Il existe plusieurs statuts juridiques de l’entreprise :

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  • L’entreprise individuelle,
  • L’entreprise individuelle à responsabilité limitée (statut EIRL),
  • La société à responsabilité limitée (SARL),
  • La société anonyme simplifiée (SAS),
  • société à responsabilité limitée (SA),
  • la société civile,
  • Le Partenariat général (SNC),
  • Société en Commandite Simple (SCS),
  • Société en commandite par actions (FRAUDE).

Compte tenu du nombre de formes sociales, nous allons donc vous expliquer la définition du statut juridique d’une entreprise. C’est pourquoi nous vous présenterons les différentes catégorisations de ces entreprises, puis nous vous présenterons les formes sociales les plus couramment utilisées .

Résumé exécutif :

I/ Classifications du statut juridique des entreprisesII/ Les statuts juridiques les plus importants

I/ Classifications du statut juridique des entreprises

La définition d’un statut juridique peut s’expliquer par la classification. Il existe différentes classifications. Il existe des entreprises individuelles et des sociétés, des sociétés civiles et commerciales, des sociétés à responsabilité limitée et des sociétés à responsabilité limitée, des sociétés publiques et des sociétés de promotion.

A) Définition d’un statut juridique : entreprise individuelle ou Les entreprises ?

L’organisation est différente selon que vous êtes une entreprise individuelle ou une entreprise.

L’organisation sera différente en termes de manager  :

  • Dans une entreprise, la société est représentée par un dirigeant. Le responsable agira au nom et au nom de l’entreprise.
  • Dans une entreprise individuelle, l’entrepreneur individuel fusionne avec son entreprise. C’est son propre patron.

L’organisation diffère également en termes de participants de l’entreprise.

  • Dans une société, les personnes qui donnent de l’argent sont des partenaires ; elles se réunissent lors d’une assemblée générale pour voter des décisions.
  • Dans une entreprise individuelle, il n’y a aucun associé ni capital social. L’entrepreneur est seul dans son entreprise. S’il veut se connecter, il doit créer une entreprise.

B) Des entreprises civiles ou des sociétés commerciales ?

Certaines entreprises ont une forme commerciale. Ce sera donc le cas pour SNC, SCS, SARL, SAS, SCA et SA. En d’autres termes, l’objet social n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit de savoir si la société est civile ou commerciale. Quel que soit le type d’activité, ces sociétés sont toujours soumises au droit commercial. C’est le cas même s’ils ont un but civil, comme la location ou la gestion de biens immobiliers.

Pour toutes les autres sociétés, l’application du droit commercial dépend de leur finalité civile ou commerciale.

C) Sociétés à responsabilité limitée et sociétés à responsabilité limitée.

Selon la loi, les sociétés à responsabilité limitée sont des sociétés dont les associés limitent la responsabilité au montant de leurs contributions. Les sociétés concernées sont les suivantes : SARL, SAS, SA et, dans une moindre mesure, SCA. En fait, la responsabilité dans SCA est limitée pour les commanditaires, mais illimitée pour les commanditaires.

Les sociétés à responsabilité illimitée sont celles dont les partenaires sont responsables de la dette sociale indéfiniment. Cela signifie que si les créanciers ne sont pas désintéressés par la saisie des actifs de la société, ils peuvent se retourner contre les partenaires. Ils peuvent alors confisquer la totalité des biens du patrimoine personnel des partenaires jusqu’à ce qu’ils soient complètement désintéressés. Les sociétés concernées sont des sociétés civiles, des SNC et des sociétés en commandite en termes de commanditaires.

D) Les sociétés anonymes et les sociétés anonymes.

Les sociétés anonymes sont les suivantes :

  • SARL,
  • la société civile,
  • le système nerveux central,
  • SCS.

Les sociétés anonymes sont :

  • le SA,
  • SAS
  • et SCA.

Dans les sociétés anonymes, vous devez obtenir l’approbation d’autres partenaires pour pouvoir vendre vos actions. Une majorité simple est donc requise. Pour les sociétés anonymes , la vente est gratuite, même si leurs partenaires ne sont pas d’accord.

Dès que la commande est terminée, la question de l’efficacité des tiers se pose. La capacité d’opposition est la création d’effets juridiques contre des tiers. Dans les sociétés anonymes, l’opposibilité est obtenue par une simple inscription sur compte. Dans les sociétés anonymes , l’opposabilité réagit à un formalisme beaucoup plus sophistiqué.

II) Les statuts juridiques les plus importants

Dans un premier temps, nous voyons les statuts statutaires les plus importants, qui sont l’entreprise individuelle, puis la SAS et la SARL.

A) Définition d’un Statut juridique : le cas de l’entreprise individuelle

Dans une entreprise individuelle, les actifs de l’entreprise sont confondus avec les actifs personnels de l’entrepreneur.

L’entrepreneur individuel peut être soumis à deux réglementations. Le régime des microentreprises ou le régime réel (normal ou simplifié), le régime normal sera le même qu’avec la SARL. Elle sera donc examinée dans la deuxième partie. Nous examinerons donc le système des micro-entreprises, c’est-à-dire le système social, le système fiscal, les obligations comptables et le seuil d’exonération de TVA.

1- Conditions d’application du régime des microentreprises

L’entrepreneur individuel peut être soumis au système microsocial et microfiscal des micro-entreprises. Il doit avoir son thème :

  • Un chiffre d’affaires annuel inférieur à 170 000 euros pour les activités de livraison de marchandises.
  • Un chiffre d’affaires annuel de moins de 70 000 euros pour la fourniture de services.

Vous pouvez également bénéficier d’une exonération de TVA  :

  • Si votre entreprise réalise un chiffre d’affaires inférieur à 82 800€ pour les activités de livraison de marchandises
  • Ou si vos revenus provenant de vos activités de prestation de services sont inférieurs à 33 200€ .

2- Le système fiscal et social des micro-entreprises

le plan fiscal, une fois que vous avez reçu vos revenus de micro-entreprises, vous pouvez demander une réduction, qui est de 50 % pour la fourniture de services et de 71 % Sur pour la fourniture de services pour la fourniture de biens. Si vous décidez ensuite des montants restants pour le prélèvement d’allégement, vous payez les impôts mensuellement ou trimestriellement :

  • Avec un Taux de 1 % pour les activités de livraison de marchandises
  • Et un taux de 1,7 % pour la prestation de services.

En ce qui concerne le régime microsocial, nous allons donc vous appliquer :

  • Un taux de 12,8 % de votre chiffre d’affaires dans les activités de livraison de marchandises.
  • Et un taux de 22 % sur vos activités de prestation de services.

Cependant, vous n’avez pas droit à une réduction du système social.

3- Le système comptable de la micro-entreprise

En ce qui concerne les obligations comptables, vous n’avez pas besoin de préparer un compte de résultat et un bilan. La seule obligation est de tenir un journal détaillant la liste des recettes professionnelles au jour le jour. Enfin, vous êtes tenu de conserver toutes les factures et les bons d’achat.

B) Définition d’un statut juridique : le Mallette SARL et SAS

D’une part, SAS est également une société commerciale, une société anonyme et une société à responsabilité limitée au montant des contributions. D’autre part, SARL est également une société de négoce, une société anonyme et une société à responsabilité limitée au montant des contributions.

La SARL et la SAS ont une personnalité juridique : elles sont soumises aux réglementations fiscales, sociales, comptables et de TVA.

En termes d’obligations comptables, la LLC est tenue de tenir une comptabilité avec un bilan et un compte de profits et pertes.

1- Le système fiscal et social

Tout d’ abord, la SARL et la SAS sont en principe soumises à l’impôt sur les sociétés (IS). Le SAS et la SARL peuvent également être soumis à l’IR dans les 5 premières années de leur formation. Dans le cas d’une SARL familiale, la SARL peut être soumis à l’IR pour une durée indéterminée. Ce sont des options que les employés peuvent choisir librement.

Donc si la SARL ou la SAS sont soumises à l’ISIS :

  • La taxation des 38 120 premiers euros de chiffre d’affaires sera de 15%
  • Puis 28% sur les 500 000 premiers euros de chiffre d’affaires
  • Et enfin, 31% au-delà des 500 000 premiers euros.

En ce qui concerne les dividendes, il y aura des impôts. Ces contributions s’élèvent à un total de 30 % , répartis en :

  • 17,2 % du montant du dividende pour les cotisations sociales
  • 12,8 % sur les dividendes versés au titre de l’impôt sur le revenu.

2- Taxe sur la valeur ajoutée

En termes de TVA, la SARL doit éventuellement déduire la TVA de ses achats et percevoir la TVA sur la vente. Elle transférera les fonds à l’État. La TVA est versée tous les mois lorsque l’entreprise a décidé du régime en vigueur. Enfin, la TVA est versée deux fois par an si l’entreprise a opté pour le régime simplifié.

Il est donc essentiel de définir un statut juridique de l’entreprise. Il vous permet de voir les différences entre toutes les sociétés et ainsi de choisir la forme sociale qui convient le mieux à votre situation professionnelle.

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