C’est la dernière étape pour penser au démarrage de votre entreprise ! Ne lâchez rien.
Et ne commettez pas l’erreur de vous poser cette question avant même d’avoir créé votre plan d’affaires et d’avoir pu analyser toutes les caractéristiques de votre projet. Si vous ne l’avez pas déjà fait, nous vous invitons à consulter nos articles pour vous aider : l’adéquation du projet transporteur, l’étude de marché, la stratégie commerciale et la partie financière.
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Une fois ces travaux terminés, le choix du statut juridique sera facilité . Cela détermine votre type de gouvernance, le niveau de responsabilité que vous êtes prêt à assumer et les formalités administratives, juridiques et comptables auxquelles vous devrez faire face.
Comment choisir votre statut juridique
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Pour choisir le bon statut, posez-vous les questions suivantes Questions principales :
- Quelle est la nature de votre entreprise ?
Certaines activités sont interdites par certaines lois et déterminent le choix de la structure juridique. Vous devez donc vous informer au préalable avant de poursuivre (p. ex.
- Vous souhaitez démarrer un partenariat ?
Vous souhaitez démarrer votre entreprise par vous-même ? Envisagez-vous d’impliquer des partenaires aujourd’hui ou à l’avenir ?
- Quelle doit être la taille de votre entreprise ?
Déterminez si votre projet nécessite beaucoup d’investissements (et donc un financement et des coûts importants). Certains statuts prévoient un capital minimum.
- Quelles sont tes priorités ? Payez-vous le montant le plus faible de cotisations de sécurité sociale et d’impôts ou êtes-vous protégé de la meilleure façon possible ?
Une fois ces questions principales posées, vous pouvez utiliser les Comprenez les questions plus facilement :
- Vous souhaitez protéger vos actifs privés ?
Et ce faisant, vous décorez votre activité professionnelle de votre activité personnelle.
- Quel régime social (sécurité sociale) souhaitez-vous pour vous (le dirigeant de l’entreprise) ?
Vous pouvez être un « employé assimilé » ou un « non-employé ».
Dans le premier cas, vous cotisez les mêmes fonds qu’un salarié (sauf dans la plupart des cas l’assurance chômage) et bénéficiez de la même protection sociale.
Dans le second cas, vous serez considéré comme un « indépendant » (TNS) et contribuerez à l’argent spécial (les commerçants et les artisans contribuent au système social des indépendants – RSI, les agriculteurs contribuent à la réciprocité sociale dans l’agriculture – MSA et le les professions libérales contribuent à l’union de recouvrement pour la sécurité sociale et les allocations familiales – l’URSSAF).
Il faut savoir que les travailleurs assimilés bénéficient d’une meilleure protection sociale en termes de prise en charge et de retraite que les non-salariés, mais cela se fait en échange de coûts plus élevés pour l’entreprise.
Cependant, vous pouvez compenser cette différence en souscrivant à des contrats déductibles des bénéfices de l’entreprise (comme le contrat Madelin) pour jouer le rôle de contrat de réciprocité, de supplément de pension, de garantie de pension personnelle, etc.
- Si vous souhaitez être indépendant (indépendant), quelles méthodes de calcul et souhaitez-vous percevoir des cotisations sociales ?
cotisations sociales d’une entreprise soumise à l’impôt sur le revenu des sociétés (IS) Les sont calculées sur la base de la compensation reçue (éventuellement majorés de dividendes s’ils dépassent le seuil de 10 % des apports du capital et du compte courant).
Une société soumise à l’impôt sur le revenu (IR) voit ses cotisations calculées sur un revenu social (bénéfice comptable ajusté, qu’il soit perçu par le dirigeant ou non).
- Quel régime fiscal avez-vous l’intention de choisir ?
Pour choisir le régime fiscal dans le cadre de votre création, vous devez sérieusement créer vos prévisions et comparer les deux régimes fiscaux. Le solde penchera en fonction du taux d’imposition marginal du créateur, du bénéfice prévu et du calcul des cotisations sociales. Pour le savoir, nous vous invitons également à lire le lien ci-dessous.
Impôt sur le revenu (IR) : Il est converti en impôt direct des bénéfices pour le compte de l’entrepreneur ou de tout mis en œuvre par des partenaires. L’entreprise ne subit donc aucun impôt fiscal et les bénéfices sont imposés dans la catégorie BIC, BNC ou bénéfices agricoles.
Fiscalité des entreprises (IS) : Cela conduit à une imposition directe des bénéfices de l’entreprise. En particulier, il s’agit du résultat fiscal du dernier exercice fiscal multiplié par le taux d’imposition correspondant (voir votre taux normal ou réduit).
Seules les dépenses qui sont dans l’intérêt de la société et peuvent être justifiées peuvent être déduites du résultat fiscal de la société (pour éviter les abus) : amortissements, intérêts, actions, loyers, etc. imposés personnellement (dans le RI) sur les rémunérations et les dividendes perçus.
- Quelle crédibilité devez-vous avoir auprès de vos partenaires (banques, clients, fournisseurs…) ?
Vous devez savoir que votre choix de statut juridique est plus ou moins peuvent inspirer confiance à vos futurs partenaires.
- Enfin, pensez également à l’espace que vous offrez à votre conjoint dans votre projet. Y a-t-il une question pour laquelle il/elle peut vous aider ? Il existe plusieurs cas :
Le conjoint aidant : il/elle participe à l’activité et n’est pas lié.
Le conjoint salarié : il participe aux activités de l’entreprise, est titulaire d’un contrat de travail et est rémunéré pour le service rendu.
Le conjoint associé
Quel est le statut juridique de mon
entreprise ?
Tout d’abord, déterminez si vous souhaitez créer une entreprise individuelle ou une société :
L’entreprise individuelle
La société et son dirigeant sont une seule et même personne d’un point de vue juridique . En général :
- L’entrepreneur est responsable de durée indéterminée pour les dettes professionnelles de tous les actifs personnels (sauf EIRL)
- L’entreprise est facile à construire et à exploiter
- Les bénéfices de la société sont imposés sur le revenu (à l’exception de l’option pour l’EIRL)
- L’entrepreneur est affilié à la sécurité sociale des indépendants
L’entreprise
La création d’une entreprise consiste en la naissance d’une nouvelle entité juridique.
- Le partenaire est responsable des dettes de l’entreprise dans la limite de ses contributions
- Les formalités de création sont plus importantes et les règles de fonctionnement plus complexes
- Les bénéfices de l’entreprise sont généralement imposés sur l’impôt sur le revenu des sociétés (option IR disponible sous certaines conditions)
- Le responsable peut être affilié au régime général ou au système de sécurité sociale des indépendants
être
Examinons de plus près (consultez directement les tableaux ci-dessous ou téléchargez le tableau Statut juridique dans la version Excel pour plus de visibilité).
Avertissement : Les informations fournies par Hauts de Garonne Développement proviennent de sources fiables mais ne peuvent justifier la responsabilité en cas d’inexactitude.
Ça va ? Quel statut choisissez-vous ?
N’oubliez pas non plus que le choix du statut juridique n’est pas définitif. Vous pouvez passer de l’un à l’autre à tout moment. Toutefois, il sera impossible de passer d’une entreprise individuelle à une entreprise . Ce dernier doit être fermé pour ouvrir la nouvelle société.
Nous vous recommandons de faire confirmer votre choix de statut par un auditeur. Nos partenaires Fid’Aquitaine et Extencia sont heureux de vous aider.
Hauts Projet Garonnebau
M. Quellen :
https://bpifrance-creation.fr/encyclopedie/structures-juridiques/choix-du-statut-generalites/structures-juridiques-comparaison
https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/choisir-son-regime-fiscal/
https://www.autoentrepreneur.urssaf.fr/portail/accueil.html
https://www.legalstart.fr/fiches-pratiques/creer-une-entreprise/